
L'action sociale et les solidarités sont au cœur des missions du Conseil départemental qui vient en aide aux personnes en difficulté financière ou sociale.
L'action sociale et les aides sociales ont pour but d'aider ceux qui en ont besoin à passer un moment difficile de leur parcours de vie, de les éloigner d'un cercle vicieux qui les mènerait à l'exclusion sociale, voire pour les plus démunis d'entre eux à les en sortir.
Pour tout connaître
Le service de l'action sociale est présent sur l'ensemble du territoire eurélien à travers les circonscriptions d'action sociale de Chartres, Dreux, Châteaudun et Nogent-le-Rotrou qui sont pour certaines d'entre elles intégrées aux Maisons départementales des solidarités.
Les professionnels du service de l'action sociale sont votre premier interlocuteur en cas de difficulté financière ou sociale. Les assistants de service social, les conseillers en économie sociale et familiale ont pour rôle de vous orienter et de vous accompagner dans votre parcours. Accès aux aides financières, liaison vers les professionnels de l'insertion ou des aides à l'enfance et aux familles, conseils pour mieux gérer son budget et son foyer, les professionnels du Conseil départemental sont là pour vous aider.
Depuis le 1er juin 2009, le revenu de solidarité active (rSa) remplace le revenu minimum d’insertion (RMI) et en élargit le dispositif. Il s’agit toujours de garantir un revenu minimum, mais aussi de faciliter le retour à l’emploi.
Le rSa assure en effet les travailleurs modestes contre une perte de revenus lors de leur sortie des dispositifs d’assistance financière (RMI, allocation parent isolés) qui sont désormais intégrés au sein du rSA.
Comme l’ancien RMI, le rSa concerne les personnes de plus de 25 ans (ou celles de moins de 25 ans ayant un enfant né ou à naître) sans activité ou exerçant une activité professionnelle mais percevant de faibles revenus.
Néanmoins, dans le cadre de l’adoption de son Schéma départemental d’insertion, le Conseil départemental d’Eure-et-Loir a mis en place des mesures préventives s’adressant aux moins de 26 ans en difficulté. L’objectif est de répondre au risque d’aggravement de certaines situations personnelles qui conduirait inéluctablement au rSa, tout en évitant la mise en place d’un système généralisé d’assistanat, peu motivant dès la sortie des études.
Enfin, le rôle du service de l'Insertion du Conseil départemental est également de s'assurer de la justice sociale en contrôlant la situation réelle des bénéficiaires et de limiter les abus.
Dossier à envoyer au secrétariat du Fonds de solidarité pour le logement
Hôtel du département
1 place Chatelet
CS 70403
28008 CHARTRES CEDEX
Permanence Accueil téléphonique :
NUMERO UNIQUE FSL : 02 37 20 13 86
Du Lundi au vendredi de 9h30 à 12h00
Volet Logement : fsl.logement@eurelien.fr
Volet énergie : fsl.energie@eurelien.fr
Volet eau : fsl.eau@eurelien.fr
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Les aides financières accordées au titre du fonds d’aide aux jeunes en difficulté sont destinées à favoriser la réalisation d’un projet d’insertion sociale et professionnelle et, le cas échéant, à apporter des secours temporaires pour faire face à des besoins urgents.
Tout jeune bénéficiaire d’une aide du fonds fait l’objet d’un suivi dans sa démarche d’insertion.
Pour bénéficier d'une aide, il faut être âgé de 18 à 25 ans, être domicilié en Eure-et-Loir et ne pas être étudiant (sauf aides d'urgence).
Expositions, journées thématiques, séances de jeu, conférences, tables-rondes, ateliers, les services sociaux du Conseil départemental mènent de nombreuses actions de prévention et de sensibilisation. Coordonnés à travers les « Interventions sociales d’intérêt collectif (ISIC) », ces rendez-vous s’adressent à l’ensemble des Euréliens.
Concrètement, il s’agit pour les équipes de terrain des services sociaux de définir des animations et actions de sensibilisation en fonction des besoins locaux. Ces besoins sont déterminés grâce à des enquêtes auprès des habitants du territoire concerné ou d’un public plus ciblé (ex. parents d’élèves au sujet des relations ados/parents). Ensuite, les équipes vont à la rencontre des différents acteurs (mairies, communautés de communes, établissements scolaires, professionnels de santé, associations…) liés à la question pour organiser de façon partenariale leurs interventions.